Lâche-toi, frappes-moi !
"Un nouveau bar à Nanjing, capital de la province du Jiangsu (Chine de
l'est), offre une solution pour extérioriser les contraintes de la vie
moderne : les clients pourront payer pour frapper le personnel,
casser les verres avec fracas, pousser des cris perçant, et si ces
techniques de gestion de stress ne fonctionnent pas, pourront recevoir
une consultation psychologique .
Rising Sun Anger Release Bar
(Bar du Soleil Levant de la Délivrance de la Colère) a été ouvert en
avril par Wu Gong, un homme de 29 ans de la province voisine de Anhui.
Wu
a indiqué qu'il a obtenu son inspiration de bars semblables au Japon,
mais a senti un besoin personnel de ce type de service après ses
expériences en tant que travailleur migrant dans la province de
Guangdong.
Le bar emploie 20 hommes bien bâtis âgés entre 20
et 30 ans, les 'modèles', qui sont disponibles pour être frappés. Les
clients peuvent indiquer comment ils veulent que les 'modèles'
apparaissent (ils peuvent même s'habiller en femmes), et ils sont alors
libres de les frapper autant qu'ils veulent.
Wu a assuré China
Daily que ces 'modèles' sont entièrement équipés d'habits de
protection, et le bar leur donne régulièrement une formation physique
afin qu'ils sont préparés à une attaque.
Le bar fait payer 50 à 300 yuan (environ 5 € à 30 €) par client, selon leurs demandes. (et pour la totale c'est combien ?!)
Wu
a indiqué qu'à l'heure actuelle, la plupart de ses clients étaient des
femmes , particulièrement celles travaillant dans des compagnies de
service et de divertissement, telles que les KTV (Karaoké) ou les salons de
massage. "
Source : China Daily
Tu m'étonnes, à force de se faire peloter, çà finit par démanger, forcément...Alors même que je me réjouissais d'une si excellente initiative et que j'apprenais parallèllement l'ouverture d'un défouloir similaire à Shanghaï, il paraitrait (selon Libé) que la municipalité veuille déjà fermer ce nouvel Eden...
"Chen Jun pensait avoir trouvé un nouveau filon lucratif :
combattre le stress des cadres de la capitale financière chinoise à
coups d'insultes et de claques dans la gueule. Pour 120 yuans (15
dollars), les femmes peuvent en venir aux mains, en donnant une
claque à l'un des cobayes de Wantong, la société créée en mars par
Chen Jun et son associé Zhang Li. Quant aux hommes, ils doivent se
contenter d'insulter les victimes volontaires, au prix de 100 yuans
(12,50 dollars) les dix minutes. La municipalité de Shanghai a
retiré sa licence d'exercice en raison des atteintes physiques sur
les personnes"..........Booouuuhhh.........
Marcel, ramènes toi, j'ai les nerfs !