Qixi & cie
Aujourd'hui, c'est la fête de Qixi, qui célèbre les amours du bouvier et de la tisserande (*), équivalent symbolique à la Saint-Valentin européenne. Fête des amoureux en demi-teinte, j'apprends en ce jour béni des dieux que les hommes chinois recèlent des aptitudes insoupçonnées, mais aussi que le besoin naturel et hygiénique de vider ses couilles chez certains autres hommes chinois (les mingong (ouvriers migrants) en l'occurence (**)) se traduit parfois par l'imposition à l'autre de son autorité, violence contre désir, injustice de la séparation contre misère sexuelle, mépris d'un être contre mépris d'un autre ...rien de nouveau sous le soleil, implacablement beau.
(*) Pour la petite histoire, c'est ici.
(**) A propos de la vie des mingong, lisez l'excellente "Promesse de Shanghai" de Stéphane Fière, aux Editions Bleu de Chine